Mardi soir, l’Assemblée nationale a voté en faveur d’une enveloppe de 230 millions d’euros. C’était dans le but de financer le projet d’aide aux foyers qui se chauffent au bois.
Après la session de mardi soir de l’Assemblée nationale, le congrès a voté pour utiliser une enveloppe de 230 millions d’euros. Après que Gabriel Attal, le parrain du projet de loi, ait ajouté la mesure, les députés socialistes l’ont déposée sous forme d’amendement. Ils ont reçu un large soutien du gouvernement et ont voté en faveur de cette aide.
Un décret du gouvernement devrait être publié prochainement. Il contiendra des détails sur l’équipement proposé, précise Philippe Brun, député socialiste. Le budget alloué à la création de l’appareil est de 230 millions de dollars, et ce budget est considéré comme une énorme aide financière. Pour assurer une disponibilité immédiate, le gouvernement prévoit de mettre en place le système après la distribution de l’aide au carburant depuis lundi. Concrètement, ils envisagent de distribuer des chèques de 200 € ou 100 € avec des montants différents correspondant à des revenus du ménage compris entre 10 800 € et 20 000 € par an. En outre, ces contrôles couvriraient le bois de chauffage dans le cadre de l’aide.
Le socialiste Philippe Brun, député de la circonscription initiale, a relevé l’expression de « chaudière des pauvres » en évoquant le chèque. L’intervention de l’État ne dépend pas du fait que la chaleur soit fournie par des chaudières au fioul ou au bois, précise Beaune, un autre élu socialiste. « Cette mesure est très importante car elle permet de baisser le coût du chauffage aux granulés plutôt qu’au fioul, ce qui réduit l’effet du réchauffement climatique sur la température » a déclaré Claudia Rouaux, une autre élue socialiste. Beaune et Rouaux ont également mentionné que les chaudières à bois coûtent aujourd’hui plus cher que les chaudières à mazout.